Emily Strange, un cochemard pour vous, un rêves pour elle...

PRENOM P. NOM

DESCRIPTION

Je suis une fille, tout d’abord. Mon caractère est complexe à décrire, et je ne suis pas doué pour décrire ces genres de choses alors je vais faire de mon mieux. Je suis solitaire, je n’aime pas sourire, j’ai oublié comment faire.  J’ai tout le temps un visage neutre, les gens ne voient pas mes émotions, mes yeux gris sont froid comme la glace, et l’or se que je parle, c’est avec méfiance et parfois avec agressivité. J’adore le froid, le vent la pluie et la neige. Je porte souvent des habits gothique, je porte tout le temps des robes qui se ressemblent : robe noir, chemise à manches courtes blanches, bottes à ceintures, nœud papillons noir tombant, bracelet ceintures ect…  J’aime beaucoup les rats, les corbeaux,  les furets, les gens ne comprennent pas mon attirement pour ce genre d’animal. J’ai  des cheveux courts noirs et lisses, ils sont souvent attachés en une petite couette derrière ma tête. Je haie les menteurs et les hypocrites, ils me dégoutent, ils sont détestables. Je suis franche, et je dis la vérité, même si elle est dure à entendre. Je ne suis pas attiré par des relations amoureuses futiles, je veux juste vivre, même si je n’y prends pas goût. Je ne souris qu’à une seule personne, mon familier. C’est le seul à pouvoir me comprendre, il m’écoute, et je l’entends. Je n’aime pas perdre le contrôle sur mon pouvoirs, cela me rends toute bizarres, et je peux parfois laisser mes émotion me guider, alors je suis en état de transe, je ne me contrôle plus et ma puissance double, cependant j’attaque ennemies et amis. Mes couleurs préférées sont le noir, le rouge et le jaune.   

HISTOIRE

Je suis née un soir d’hiver,  La lune ma donnée son teint blanchâtre et la nuit ses cheveux d’encre et les étoiles mes yeux gris.  Mon premier regard se posa sur mon père, il me portait dans ses bras, avec un sourire doux. Je m’en souviendrais toujours, et ma mère la rejoins, tout deux sourier, ma mère pleurer, heureuse. Je grandissait dans un bonheur infini , Mes parents s’occupaient de moi et mon grand frère, celui-ci était toujours un peux jaloux. Un jour, l’ors de mes quatre ans, je joué dans le petit jardin de ma maison, mon frère avait alors 9ans, il joué au foot avec un ballon rouge et noir. Je poursuivis une petite sauterelle, quand celle-ci sur disparu, un animal l’avait avalé, je vis sortir d’un fourré un petit furet avec de petite ailes de corbeau. Il était blessé, alors je le ramener chez moi, mes parents le soignèrent, et ils me le donnèrent. Lui et moi vivions paisiblement, avec mon frère, ma mère et mon père.  J’avais 6ans, il faisait nuit, et je joué encore dehors, la neige avait emplis le paysage d’un blanc profond que la nuit rendait gris. Je joué avec mon frère, qui avait 11 ans. Il me laissait des boules de neiges, et je lui renvoyer. Nous rigolions, amuser, ma petite Liou, ma furette, avec moi. Quand, tout à coup, le ciel se teinta d’un rouge sanglant, la lune devint écarlate, et mon frère parut apeuré. Il me prit dans ses bras protecteur, et il couru à la maison. Mes parents avaient l’air grave, ils nous mirent dans la caves, en nous ordonnant d’y rester, j’étais apeuré, je ne savais pas pourquoi ils avaient peur, tout les deux. Et même mon frère semblait partager mon désarroi.  Nous nous étions assis,  quand nous entendîmes des cris,  d’abord de colère puis de douleurs, du sang coulait entre les fissures du bois de la trappe et venaient dégoulinait le long de l’échelle. Je ne pu réprimer un petit cri, et là, je su que j’avais fait une bêtise, mon frère me mis la main sur ma bouche et couru, la trappe s’ouvris  et des hommes entrèrent, mon frère sortit par un passage secret qu’il avait trouvé, il y de sa deux ans.  Au moment ou il aller partir, un homme lui saisi la chaussure, il tomba en me lâchant et me cria :
« Pars ! Cours ! Va-t’en !! 
-Non...  Pas sans toi ! » M’écriai-je. 
Trop tard, les hommes le tirèrent. Je me mis à courir, les larme aux yeux, le froid fouettant mon visage blanchâtre, ma furette sur mon épaule. Je pu entendre les bruit de pas qui me suivait, mais je ne m’arrêtais pas, quand je trébuchai sur une racine épineuse, je tombais lourdement au sol et les hommes tous de blanc vêtu m’encerclèrent. Je pleurais, et eux me regarder amusaient, puis, je ne sentit plus rien, mon esprit n’était plus connecté à mon corps qui prit le devent, je me piquais le doigt aux ronces, puis le lécher mon sang, et je levis le bras gauche et des ronces énormes sortirent du sol, de l’autre main du feu  brillait. Je combattis et finis par m’endormir, fatigué, je me réveillais dans une pièce énorme, attaché par d’énorme chaînes, et  un homme me parla, puis il axiona une manette, et de puissante ondes me traversèrent le corps, je hurlais de douleurs. Tous les jours l’homme revenais, jusqu’à mes 10ans, ou je réussi à m’enfuir, jusqu’à mes 11ans je vivais dans la rue, puis je rejoins Hinan Shigiku.