Nouvel arrivant Messages : 2 Date d'inscription : 12/05/2014 Age : 26 Localisation : Dans les méandres de mes idées.
| Sujet: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. Lun 12 Mai - 14:39 | |
| ▬ MA PRESENTATION " Dans les ténèbres, il n'y a pas que les seigneurs de la nuit. " | NOM & PRÉNOM + SURNOM• D'Abon Lydie Célia. Personne ne m'a encore donner de surnom. POUVOIR • Postcognition. Pour ceux qui ne connaissent pas, ceci est la capacité de voir le passé par le toucher d'objets ou d'individus. Mon pouvoir a atteint un stade ou il m'est possible de montrer ses souvenirs à quelqu'un. SEXE • Féminin. ÂGE • 26 ans d'apparence. NATIONALITÉ • Française. GROUPE • Personnel. Je suis professeur de philosophie. PERSO SUR L'AVATAR • Original character - Memessa (Artist.) RACE • Homonculus. ORIENTATION SEXUELLE • Très bonne question ! A laquelle je n'ai pas de réponse. Comprendre que je dois être bisexuelle. | DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. Duis aute irure dolor in reprehenderit in
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Et ainsi débuta la fin. Juste une phrase, dite sur deux longs souffles. Juste une phrase et tout vola en éclats. De ces sourires, de ces rires, plus rien ne persista. Le silence, lourd comme du plomb, s'empara de la salle et un bruit de heurt, celui de la famille désemparée s'effondrant au sol, fut le sens amas d'ondes sonores qui fit échos. Tout sembla fade, dépourvu de quelconque lueur et pourtant, le marié, homme toujours aussi droit, n'en courba même pas le dos. Cette nouvelle affligeante ne sembla même pas l'attrister et, tournant le visage, mâture de son âge presque avancé, vers cette peuplade en pleurs, il leva la main en signe d'apaisement. Rien ne serait annuler. Juste reporter.
Alors, d'Angleterre, traversant la mer, l'on fit venir un homme dont le nom faisait frémir les cieux de mécontentement. Son ombre, glissant sous les portes, par les fenêtres, semant panique et désordre, baignait dans l'impur, dans le corrompu, par son oeuvre inhumaine. Ses yeux cernés, fatigués, se remplirent de malice à la simple nouvelle d'être appelé en France et, malgré le voyage long et éprouvant, en touchant terre il ne fit qu'éclater d'un rire tonitruant, remplit de l'hérésie dont l'être lui-même semblait être la personnification. La folie. Et la légèreté de l'humanité. Ces deux choses auraient pu porter le même nom. Se partager la même faute. Faible. Terriblement faible. Faible à s'en fendre, casser, juste au passage de la brise du soir dans la plus douce nuit d'été. Ses pas se suivirent alors, lents, chargé de son mystère, et bientôt, ouvrant les deux grandes portes du manoir d'un geste sans patience, il clama haut et fort son nom. Si brusquement que la plupart des servants, bien qu'éduqués à en rester à leur poste quoi qu'il advienne, en tressaillir. Encore une fois, il se comblait de cet effroi parcourant les regards qui osaient s'aventurer jusqu'à lui comme s'ils se perdaient sur le diable, sur le mauvais et le malin. Il n'était pas humain. Mais était-ce là réellement un défaut ? Lui-même ne s'en portait pas plus mal. Il avait l'impression, presque véridique, de jouir d'une anormalité marquant la franchise de ses émotions. Il ne se fardait pas comme d'autres. Maître. Ce fut le seul mot qu'il vint à prononcer de toute la force qui jaillissant de sa gorge dans le ton d'une voix roque et basse, puissante. Il était le maître.
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Tout le monde ne se marie pas à un beau jeune homme. Tout le monde n'hérite pas d'une belle fortune. Et les amours réciproques sont terriblement rares. La vie elle-même est un symbole de tristesse, de mélancolie du passé et de tendresse à l'échec dont tous portent le sceau. Caché derrière ces belles allures, ces grands yeux maquillés, quiconque sait les mensonges qu'il couvre. Mais personne n'ose avouer. Personne n'ira au-devant de ce danger, celui de révéler que l'homme est un fruit qui a pourri depuis bien plus longtemps que tous ne le pensent. Je regardais le ciel par la fenêtre, assise de façon aussi droite que les piliers de la justice, les nuages passant avec une lenteur appréciable. Le calme régnait. Et, dans ce grand lieu de vie, manoir portant les souvenirs de toute existence, j'étais la pièce détachée. La pièce de rechange, celle que l'on ne regarde que lorsque l'on en a plus le choix. Mon mari avait beau être un homme respectueux, et respectable, je n'en étais pas plus louée par les cieux. Je savais ma nature, je n'en ignorais rien et, créature du vice, personne n'osait m'en adresser la parole, ce qui faisait doucement rire mon époux.
Des notes de piano s'élevèrent alors et, tournant ma tête de l'autre côté, vers le coin le plus sombre de la pièce, j'esquissais un sourire. Ma nature ne pouvait pas me désoler. Malgré cette part de moi qui s'en sentait délaissée, je recevais l'amour le plus doux du monde. Et peu m'importait que cela n'en soit l'interdit d'un quelconque seigneur. Je n'étais pas venue au monde par sa main, son pouvoir ne pourrait jamais s'exercer sur moi. Ma vie, ce coeur artificielle battant dans ma poitrine, mon sang et mes larmes, tout n'appartenait qu'au maître. Ce n'était pas un père, sans quoi je pense que le mot juste de notre relation aurait été "incestueuse", mais il était mon créateur. Celui qui par l'art de l'alchimie était parvenue à me donner naissance. Il avait défier les dieux que tous vénèrent. Avait créer une respiration. Il avait fallu des années, années pendant lesquelles mon mari fut esseulé, mais désormais j'étais là. Je vivais.
Je me levais, laissant mon point de croix sur la table ronde à mes côtés pour faire quelques pas dans la résonance de mes talons sur le parquet. A mon approche, l'homme redressa la tête, ne coupant pas la mélodie que produisait les appuis de ses doigts sur les clés, Et nos yeux se croisèrent. Mes deux grandes perles d'un bleu marin se confrontèrent avec obéissance à ses sphères noisettes. Et, mes lèvres rosées s'entre-ouvrant, il frappa d'un coup un peu plus sec sur une clé du piano, m'ordonnant sans mot au silence. Je fermais les yeux et baissais doucement la tête, coupant mon envie de parler par respect avant de retourner à ma place pour reprendre mon point de croix. Nos journées se passaient ainsi. Sans cesse. Nul servant ne me regardait, tous baissaient les yeux à mon passage et, lorsque je sortais, personne ne venait réprimander la dame pour le danger qu'elle courait. Après tout, je n'étais pas humaine. L'extérieur n'avait de danger que pour l'honneur de mon mari. Mari qui ne revenait que le soir, fatigué, avalant à peine de quoi faire tenir son corps avant d'aller se coucher. Alors, c'était la torture. Cette sensation de brûlure sur ma peau, son souffle qui se liait au mien et qui m'en écœurais. Devoir subir un amour que lui ni moi ne ressentions pour le protocole, pour l'histoire d'une progéniture que nous n'espérions pas, c'était là notre punition commune. [ En cours. ] | PRÉNOM • Camille. SEXE • M. DOUBLE COMPTE ? SI OUI DE QUI ? De personne. VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • 5/7, je dirais. COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • Sa fondatrice n'en a parlé.
CODE DU RÈGLEMENT • Les amis sont la famille que nous choisissons. (Ceci est d'un sadisme déconcertant, jeune lady. x) ) AUTRE • votre réponse ici |
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Invité | Sujet: Re: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. Lun 12 Mai - 17:45 | |
| hi, bienvenue. ♥ Bon courage pour la suite ; si tu as besoin d'aide, n'hésite pas. : ) ( Waw. Cette plume, tellement délicate ! o: ) |
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Ange Messages : 98 Date d'inscription : 31/12/2013
| Sujet: Re: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. Lun 12 Mai - 17:49 | |
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Ange-Démon Messages : 31 Date d'inscription : 04/01/2014
| Sujet: Re: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. Lun 12 Mai - 18:28 | |
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Nouvel arrivant Messages : 2 Date d'inscription : 12/05/2014 Age : 26 Localisation : Dans les méandres de mes idées.
| Sujet: Re: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. Lun 12 Mai - 19:53 | |
| Merci bien, mes demoiselles. =)
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Ange-Démon Messages : 135 Date d'inscription : 24/04/2013 Age : 27 Localisation : Je prend le thé avec mon ombre! Et oui,c'est possible DX
| Sujet: Re: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. Mar 13 Mai - 14:58 | |
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Esprit Messages : 376 Date d'inscription : 24/04/2013
| Sujet: Re: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. Jeu 15 Mai - 17:04 | |
| Bienvenue ! J'ai une petite question... Parce que en fait, au départ, j'allais suppr le fow et j'aimerais savoir, tu préfères Hinan ou le new fow que j'ai fais ?: http://manoir-illusions.forumactif.org/C'est juste pour savoir si je suppr Hinan... Parce que sinon, peut être que je vais garder les 2... Sinon, si tu as besoin d'aide pour ta fiche, demande moi ! Et bonne chance ! EDIT: OH MAIS TU ES ACACE =D =D =D =D =D =D =D ça va ? =D |
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Esprit Messages : 376 Date d'inscription : 24/04/2013
| Sujet: Re: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. Ven 16 Mai - 15:45 | |
| Bon bah vu que tu rep pas, j'ai pris ma décision ! |
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| Sujet: Re: Lydie C. D'Abon - La noblesse s'éteint comme une bougie. | |
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