(PV Setsuna) Courses, lecture et rencontre.

Ce soir là, il pleuvait. J'avais prit mon parapluie, m'étais habillée chaudement et étais sortie, dans la rue. Puis, je m'étais rendue au centre-ville, afin d'acheter le ravitaillement de Hinan Shigiku.
Et maintenant, j'étais là. Je me rendis tout d'abord acheter des places de cinéma, afin que les créatures du refuge puissent y aller quand ils veulent. Au passage, je pris le programme de cinéma et me rendis compte qu'il n'y avait rien d'intéressant à part peut être un film romantique qui pourrait intéresser certaines personnes. Je haussai les épaules, fourrai le papier dans ma poche et me dirigeai vers un marchand de caramels. L'odeur, en effet, m'avait tout de suite attirée et je ressortis donc avec deux kilos de caramels au bras. Je m'assis sous un abri-bus pour me reposer et regardai l'heure: 18h30. Je me relevai en soupirant et courus sous la pluie jusqu'à un petit commerce qui vendait de tout. Je pris donc le nécessaire et ressortis sous la pluie battante et la nuit qui était tombée depuis presque 15 minutes. Enfin, je rentrai dans une librairie, posai mes courses, pris plusieurs livres et m'assis dans un coin pour lire.

Je marchais, avec la tenue habituel qui a était lavé, la tenue ou je me suis enfuis de chez moi, mes cheveux libre, tombait en cascade dans mon dos, avec un manteau noir, en col et qui s'arrêter a partir de mes pieds, un imperméable. Un parapluie aussi, violet noir. Je me promener dans la ville pour voir un peu le monde de mes propre yeux.

J'aime la pluie, entendre sa berceuse vous bercer. Je marchais tranquillement, regardant les maisons, leurs formes, les autres bâtiments, magasins ... etc. J'étais curieuse. Les gens courait pour aller chercher un abri de cette pluie qui tombait. Certaines personnes avait des parapluie, d'autre ce balader sans. Quand je suis arriver devant une librairie si je me trompe pas ... J'ai fermer le parapluie et je suis rentrer dans le magasins.

Mis le parapluie dans un cylindre avec d'autres parapluie, donc, il y avait d'autres personne. J'ai enlevée mon manteau et mis au porte-manteau, une fois fait, j'ai dit bonjour a celui qui était a l'accueil, je regarda les étagères remplis de livres et mis ensuite a traverser pour chercher des livres. J'ai pris un livre avec des histoires de Vampire pour en apprendre plus sur, livre avec des arts et etc. J'ai pris place a une table non loin d'une dame dont je la voyais de face a une autre table, elle me disait quelque chose ... J'ai pris les histoires de Vampire et commença ma lecture.

J'étais plongée dans mes livres, la pluie continuant de tomber et de tambouriner d'un bruit sourd les toits en tuiles ou en tôle. La librairie comportait peu de monde malgré la pluie mais cela m'arrangeait parce que sinon, je n'arrivais pas à voyager avec les héros des romans que je dévorais comme des petits pains.

Quelques fois, la porte s'ouvrait et pendant quelques secondes, la pluie se faisait plus forte à mes oreilles. Puis, le calme reprenait le dessus et les gouttes d'eau semblaient plus lointaines. J'en étais environ à mon troisième livre lorsque la porte s'ouvrit de nouveau. Au départ, je n'y prêtai pas attention. Après tout, c'était une humaine probablement, comme tous les autres. Mais lorsque je levai les yeux vers elle, je vis immédiatement que s'en était pas. Elle dégageai une aura de... vampire.

Je me levai, d'un bond, me mettant sur mes gardes. Je n'avais pas peur des vampires puisque je ne risquais presque rien... Mais les autres, dans la bibliothèque. En l'observant bien, je me rendis compte qu'elle n'avait pas l'air d'être là pour ça. Puis, en la regardant encore, je m'aperçus que je la connaissais.

Nimara... Ninami... Nimari... Oui, Nimari ! Son non de faimme était Nimari, elle était pensionnaire à Hinan Shigiku. Je souris et m'avançai vers elle puis, je m'assis à côté d'elle et lui dit:

"Bonjour, vous êtes bien Mademoiselle Nimari ? Quel hasard de nous rencontrer ici ! Vous ne trouvez pas"

J'avais parlé avec mon air de lady et je me dis que je n'aurais peut être pas dût. Je soupirai discrètement et me relevai, m'appretant à me diriger vers la porte afin de sortir.

J'étais plonger dans ce livre, je n'entendais pas le monde réel mais le silence et je voyer la scène dans le livre. Sa raconter un combat de magie entre Vampire a cause d'une femme. Une histoire a l'eau de rose. Mais une voix me ramena au monde réel, c'était la jeune femme qui était en face de moi, je chercher dans ma tête les souvenirs passer au pensionnat. Setsuko H.Tenaar. Directrice de Hinan Shigiku. Je la regarda et elle me parla :

"Bonjour, vous êtes bien Mademoiselle Nimari ? Quel hasard de nous rencontrer ici ! Vous ne trouvez pas"

Je ne crois pas au hasard, moi. C'est le Destin qui a voulu. Je lui répondit pas, timide mais voulant faire sa connaissance, quelque chose me fessait bloquer et m'empêcher de parler. Comme si on m'avais paralyser de la parole mais pas des mouvements. Quand elle étais a la porte, j'ai pu enfin me libérer de cette paralyse de la parole est dit

- Oui je suis bien Setsuna Nimari, c'est le Destin et non le hasard ...

Elle se retourna, sourit et dit :

-Si le destin à vraiment fait que nous soyons ici, je doute que ce ne soit pour rien... Allez, venez, on va boire un verre à deux pas d'ici, je vous l'offre.

Je me levis, pris la pile de livre, et rangea a leurs place. Une fois fait, j'ai couru vers la sortis, mis mon manteau pris mon parapluie, dit au revoir a l'accueil et sorti sous la pluie sans déplier mon parapluie. Regarda a droite, pas la et a gauche, la. J'ai couru pour la rattraper, je m'en ficher de la pluie et j'avais fait que l'air tournait autour de moi, invisible, en fessant que les gouttes ne me toucher pas, ou quelque. Une fois arriver, je me suis mis en face de elle, arrêtant le sort aussi. Quand le serveur me vit, il demanda se que je voulais, j'ai pris une grenadine. J'avais une poche de sang dans le manteau mais cacher pour que les gens évite de voir et me prenne pour un monstre, pourquoi avoir peur de nous, Vampire ?

Elle arriva peut après, un verre de grenadine à la main et s'assit en face de moi. Je lui souris, pris ma tasse de café dans les mains, la portai à ma bouche  et bu une gorgée de café avant de dire:

-Setsuna, je peux te tutoyer ?

Je n'attendis pas sa réponse et lui demandai:

-Tu as quel âge ?


Je bus encore dans ma tasse de café, un peu trop vite et fahis me bruler. Je devins toute rouge mais fis semblant que je n'avais rien. Puis, la brûlure passa et j'enlevai ma veste à cause de la chaleur qui emplifiait peu à peu mon corps. La pluie continuait de chanter sa berceuse au dehors, tandis que la nuit tombait complètement. 

J'ai pris une gorgée et poser sur la table elle me demanda :

-Setsuna, je peux te tutoyer ?

Elle me laissa pas le temps de répondre. Et dit ensuite :


-Tu as quel âge ?

On m'avait dit que poser cette question était un peu ... mauvais. Je ne savais pas pourquoi, quand elle me posa cette question, je me suis redresser, et je lui dit :

- J'ai 16 ans

Je lui demander pas son âge, j'étais seulement curieuse du monde. J'ai fermer les yeux, avec mon visage neutre, cela devais faire peur au humain. Ecoutant la berseuce de la pluie, j'attendis la prochaine question que Setsuko. Quand je le les ai ouvert, j'ai vu que Setsuko était toute rouge, sûrement a cause de son café, j'ai regarder la rue ou les gens courait par la cause de la pluie. Et j'ai pensée a mes parents, que font-il ? Je me le demander bien mais je m'en ficher pas mal, je suis libre ou presque.

Elle avait donc 16 ans. Je décidai d'arrêter de parler, de peur de l'ennuyer et me surprit à réfléchir. Je réfléchissais beaucoup ces derniers temps. Sûrement parce que je me rendais compte que Hinan Shigiku était souvent dans le rouge au niveau de l'argent, que les créatures se promenaient de moins en moins dans les couloirs ou que la pluie atteignait de moins en moins le refuge. Je soupirai et regardai dehors. Ici, ils ne semblaient pas manquer d'eau. Après tout, je pouvais bien demander à une magicienne de la pluie de m'en faire à Hinan mais je voulais de la pluie naturelle. Je soupirai une nouvelle fois, allai au bar recommander une tasse, de tisane cette fois et me rassis.

Personne ne parlait dans le café. L'ambiance en était presque inquiétante. La pluie, elle, ne s'arrêtait pas et semblait encore plus forte avec ce silence. Tous semblaient l'écouter. Les gouttes étaient tellement serrées que la pluie faisait plus qu'un seul bruit au lieu de plusieurs. Dehors, les rares gens qui restaient couraient sous des parapluies et luttaient contre la tempête imminente. En plus de la pluie, s'était ajouté un vent qui devenait de plus en plus violent. La forêt en bordure de la ville était presque couchée, battue par le vent et les flots. Je ne pus m'enpêcher de parler pour rombre le silence:

-C'est beau le bruit du vent et de la pluie, tu ne trouves pas ?

Pour moi, la pluie, ce n'est pas triste. Setsuko est parti se commander quelque chose a boire. Je commencer a sentir les pulsations d'un vampire en chasse, quand mon verre était vide, j'ai vite mis le contenu d'une poche de sang pour pas attaquer une personne ici présente. Une fois fais, j'ai vite bu sans que personne voit, plus une goutte ne rester dans le verre. Mes yeux sont revenu de couleur violet, et les taches rouge dans mes yeux était disparut. Setsuko revient avec une tasse, une tisane, dans les mains et s'assoit a sa place.

Le silence était la. Je gouttais a ce silence. Et regarda les rues avec cette pluie qui ne cesser de tomber. Setsuko brisa ce silence :

-C'est beau le bruit du vent et de la pluie, tu ne trouves pas ?

Elle avait raison, j'ai répondit :

- Oui ...

Le vent vint, et c'était une rafale là. Il dansait avec mesdemoiselles les arbres. J'ai fermer les yeux et pensa a une mélodie, le vent répéta la mélodie. Le vent était a mes ordres. L'orchestres était le vent et moi, j'étais le Chef d'orchestre. La pluie continua de tomber, fessant un bruit de fond magnifique. Quand j'avais fini de faire sa, le vent re danser avec les arbres, fessant coucher a terres. J'ai clignée plusieurs fois les yeux pour me remettre les idées en place, et chasser la fatigue.

Elle me répondis par un simple "oui". Mais je n'attendais pas d'autre réponse. Je souris, écoutai à nouveau la pluie et regardai les gens autours de nous. Ils étaient tous humains apparement. Ou alors, c'est que je ne sentais pas leur aura de créature. Puis, je me me levai et lui dis:

-Je vais dehors, tu viens ?

En réalité, je n'arrivais pas à rester en place. Les mots me manquaient, le silence ne me dérangeait pas mais une étrange ambiance nous entouraient et c'était ça le problème. Je sortis dehors, ouvris mon parapluie et commençai à avancer, dans les rues inanimées en cette nuit pluvieuse. Le vent, quand à lui, il ne s'était pas calmé du tout. IL ne s'était pas empiré non plus, d'ailleurs. Par contre, la pluie semblait peu à peu se transformer en neige et devenait plus calme. Je frissonnai, montai mon écharpe et continuai de marcher

Elle sortis avec moi et s'excusa pour ne pas être bavarde. Je souris, ne répondis pas tout de suite et continuai de marcher, jusqu'à ce qu'elle s'arrête. Je m'arrêtai aussi. Elle semblait regarder la neige avec un mystère profond puis elle demande:

-C'est ça, de la neige ?

Je souris une nouvelle fois et lui répondis:

-Oui, c'est de la neige. Et tu sais, ce n'est pas grave si tu n'es pas bavarde. Moi non plus je ne le suis pas. Quelque fois, nous pouvons passer de très bon moments sans parler, comme si les deux âmes étaient liées à un tel point qu'il n'y a plus besoin de se dire quoi que ce soit.

Je m'arrêtai de parler et repartis, jusqu'à un banc à moitié abrité par un saule pleureur immense. Je m'assis, pliai mon parapluie et contemplai la neige qui tombait puis je dis:

-La neige, on dirait que le ciel dit à la Terre qu'il l'aime et qu'il veut être lié avec elle. Mais ils ne peuvent pas se lier. Ils peuvent juste se contempler comme lorsque nous contemplons les étoiles et la lune. Et comme lorsque l'on se dit:
j'aimerais bien qu'un jour, une étoile vienne avec moi et me réchauffe et éclair mon chemin pour toujours.

Je me tus. Je devais l'ennuyer avec mes paroles. Après, tout, la plupart des gens pensaient que la neige n'étaient qu'un truc blanc qui tombe du ciel. Et pas ce que je pensais moi.

Rester plantée la, a regarder la neige tomber, je voudrais bien mais je sais que sa se ne dure pas éternellement. Elle ma répondu :

-Oui, c'est de la neige. Et tu sais, ce n'est pas grave si tu n'es pas bavarde. Moi non plus je ne le suis pas. Quelque fois, nous pouvons passer de très bon moments sans parler, comme si les deux âmes étaient liées à un tel point qu'il n'y a plus besoin de se dire quoi que ce soit.

Elle parlait très bien, elle n'était pas comme mes parents. Elle se dirigea vers un banc presque protéger pas un saule pleureur beau. Elle s'assit, je suis allait la rejoindre et je me suis assise a l'autre bout du banc. Et j'ai levée le regard vers le ciel gris qui laissait la neige tomber. Setsuko parla :

-La neige, on dirait que le ciel dit à la Terre qu'il l'aime et qu'il veut être lié avec elle. Mais ils ne peuvent pas se lier. Ils peuvent juste se contempler comme lorsque nous contemplons les étoiles et la lune. Et comme lorsque l'on se dit:
j'aimerais bien qu'un jour, une étoile vienne avec moi et me réchauffe et éclair mon chemin pour toujours.

Je l'écoutait attentivement, tout en regardant ce rideau blanc magnifique. J'ai regardais la petite rivière qui était devant nous, la neige se déposait mais disparait. Je voulais regarder ce spectacle pour toujours, mais cela est impossible.

- Vous parlez très bien, c'est rare qui des personnes parlent comme vous, et c'est dommage. Mes parents trouvent cela idiot mais pas moi.


J'ai vendu la mèche ... Et puis, les secrets doivent un jour ou l'autre se montrer au grand jour.

Elle semblait m'écouter, au bout d'un moment, elle me dit:

- Vous parlez très bien, c'est rare qui des personnes parlent comme vous, et c'est dommage. Mes parents trouvent cela idiot mais pas moi.

Je la regardai. Elle aussi était émerveillée par la neige et je souris en me demandant ce qui se cachait derrière ses yeux. Je tournai encore une fois mon regard vers la neige et lui dis:

-Merci... En vérité, je me pose beaucoup de question sur tout ce qui nous entoure, et je les voies autrement. Tu sais, les esprits, font partis de la nature, nous sommes là pour elle et elle est là pour nous...
Et je suis contente que tu ne me regarde pas comme une idiote, certaines personnes, se disent que je suis folle et dans ces cas là, je me sens triste. C'est pour ça que je ne parle pas trop comme ça à tous le monde. Mais toi, je savais dès le début que je pouvais te faire confiance.

Je me tus. Et je me demandai encore une fois ce qu'elle voulait dire par "Mes parents trouvent cela idiot mais pas moi.". Je me dis que je ne devais pas lui poser la question et me contentai de lui dire:

"Nous avons chacun nos secrets... Mais sache que chacun à aussi quelque chose à dire à quelqu'un..."

Le silence suivit mes paroles lors d'un cour instant. La neige continuait de tomber et le sol commençait peu à peu à devenir blanc. Je souris.

Après mes premières paroles, elle détacha ses yeux de la petite rivière pour me regarder. Puis, après avoir écouté mes secondes paroles, elle se mit à cueillir une rose et à la sentir, en fermant les yeux.
Je ne dis rien et regardai le ciel. La neige tombait de plus en plus fort et les flocons étaient déjà plus gros. Je souris et tandis ma main pour sentir l'humide cotton blanc qui tombait du ciel. A chaque flocon sur le creux de ma paume, je souriais.
Je n'avais plus envie de parler. Au fond, je devais l'ennuyer vu qu'elle avait dit qu'elle n'était pas bavarde. De toute façon, je trouvais que,j en cette froide journée d'hiver, le silence était très accueillant et était loin d'être ennuyant.
La nuit tombait déjà et le froid et le vent l'accompagnèrent dans la foulée. Une chose était sûre, bientôt, les rues seraient désertes ce qui ne tarda pas à se prouver véritablement devant nos yeux. Il n'y avait pas un seul chat, pas un seul chien, que nous deux. De temps à autres, une personne sortait les poubelles de chez lui pour rentrer aussitôt au chaud, d'autres personnes courait entre chez eux et le café et ainsi de suite. Personne ne restait planté, dehors, par ce froid mordant, ou du moins, je le pense, vu que je ne le sens pas autant que les humains.
Les revèrbères allumé, on pouvait distinguer les flocons tomber, toujours en grosse quantité et déjà, le sol était de plus en plus couvert par la neige.

"Je crois que tu ne le sais pas mais je me nomme Setsuko".

Ce furent les seuls mots que je prononçai.